Pseudo : Black Lotus. Âge : 25 ans. Pays : Québec ♡ Pré-lien ou Scénario ? //
Comment as-tu connu le forum ? Je suis la fondatrice et j'ai suivi Diki dans cette aventure ♡
Identité
Nom : Sheffield. Prénom : Camélia. Numéro de série : // Nom de code : Fox. Âge : 30 ans. Sexe : Femme. Date & lieu de naissance : 14 février 2009 à Détroit, Michigan. Occupation : Artiste peintre indépendante. Orientation sexuelle : Pansexuelle. Situation : J'aime un homme qui ne peut m'aimer en retour. Groupe : Humains. Rang : Coalition. Avatar : Phoebe Tonkin.
Physique
Débutons par la tête, car c’est la première chose que les gens voient. J’ai les cheveux mi-longs, qui atteint mes épaules, ils sont épais, ils sont doux aux toucher et ils sont de couleurs brun. Mon visage il est ovale, ma peau est de couleur ivoire et sans oublier mes sourcils qui sont bien entretenu par mes soins. J’ai les yeux en forme d’amande et mes iris sont de couleurs noisette, original, non? J’ai un grain de beauté au-dessus de mes lèvres. J’ai le nez concave, pour être totalement honnête, je déteste l'apparence de mon nez. Ce n'est qu'un détail. Passons à mes lèvres qui sont en forme de cœur, les deux lèvres ont un volume similaire. J’ai les oreilles percées, mais juste un trou, hein, il ne faut pas exagérer. Manque-t-il quelque chose à la description de mon visage ? Non ? Bien passons à mon physique !
Je mesure 1,72 m, je ne suis ni grande, ni petite, entre les deux, tiens. Mon poids ? Et bien, je ne suis pas anorexique, ni grosse, disons que je suis dans le poids normal pour ma grandeur. J’ai un corps plutôt élancé et légèrement musclé. Il faut bien que j’entretienne mon corps, n’est-ce pas ? Pour ce qui est de ma poitrine, tout ce qui a de plus normal. Je n’ai aucune cicatrice, mais j’ai deux tattoo. Le premier "tattoo", entre les deux omoplates. C’est un mandala, encre noir, pour être plus précise. J'aime bien ce petit tatouage. Et le deuxième est au niveau de mon poignet droit écrit “joy”
Niveau fringues. Qu’est-ce que je porte généralement ? Des vêtements de couleur neutre de préférence,je ne suis pas le genre de femme qui porterait des vêtements flashy. Je me tiens loin du rose surtout. Je reste dans les banalités tel que le gris, le blanc et le noir. Je varie dans les nouvelles tendances ou des jeans troués. Des débardeurs ou des chandails à manches courts. Des vestes ou des pulls. Tout dans la simplicité. Je porte très rarement des talons hauts, mais je préfère des souliers plats et des bottes. Voilà ce que je porte en général.
Caractère
ꕥ Entreprenante, Méthodique & Ponctuelle ꕥ Je suis le genre de personne à prendre les devants, sans hésitation. J’aime avoir le contrôle de ce que je fais même si ça peut dérouter certaines personnes. Lorsque j’accomplie quelque chose, il faut que ça soit fait d’une certaine manière. On peut dire que je suis ordonnée et que mes gestes sont soignés. Tout est fait pour que je me retrouve facilement, très pratique pour mon travail. Toujours à l’heure, même un peu à l’avance. Je respecte les échéances pour un rendez-vous ou peu importe, je suis toujours là.
ꕥ Honnête, Intuitive & Protectrice ꕥ Pour moi le mensonge est inconcevable.Je suis franche avec les gens qui méritent de savoir la vérité. Pourquoi vivre dans le mensonge ? Je ne suis aucunement hypocrite niveau sociale, c’est pour ça que j’ai peu d’amis. C’est peut-être idiot, mais je suis beaucoup mon instinct, vous savez la petite voix qui vous dit “ne fait pas ça” ou “tu ferais mieux d’aller voir ailleurs”, ouais, je les écoutes et ça m’aide parfois à me sortir d’affaire. Si seulement je m'étais écouté lorsque j'étais plus jeune...Si je t’aime bien, ou un peu trop, je peux être un peu trop protectrice envers toi.Peu importe la situation, je serais la première à te sortir du pétrin.
ꕥ Désobéissante, Jalouse & Rancunière ꕥ Je ne suis pas parfaite, malgré ce que les gens peuvent en penser… Je n'obéis pas tout le temps, surtout envers ma mère qui a toujours eu un contrôle sur moi. J’en ai eu assez. Disons que j’ai soulevé le majeur devant son visage me foutant bien de ce qu’elle peut penser. J'avoue que je suis jalouse. J’éprouve un vif sentiment d'envie devant l'avantage, le succès, le bien de quelqu'un d'autre, on peut même dire que je suis envieuse d’un coup partie. Tu me fais du mal ? Tant pis pour toi, c’est fini entre nous. Je suis incapable de pardonner quelqu’un qui franchit la ligne rouge. Qui est ma limite. Tu me mens ? Ça passe. Tu me trompes ? Oh assure-toi de bien verrouiller les portes de chez toi…
ꕥ Instable, Intransigeante, Têtue ꕥ Un psychologue m’a confirmé que j’étais instable psychologiquement dû à un traumatisme, que j’ai oubliée lorsque j’étais petite. Le docteur tente en vain de me faire souvenir, mais quelque chose qui bloque… Comme une barrière qui m’empêche d’aller mieux. Ça peut être très dangereux, surtout lorsqu’on me cherche, on me trouve. Avec moi c’est tout ou rien. Qu’est-ce que je veux dire par là ? C’est bien simple. Je n’admet aucun compromis, en fait, je suis incapable d’en faire. C’est ça ou c’est rien, tout simplement. Je l’admet… je suis têtue, je suis une personne qui est excessivement attachée à mes opinions. Tout ce que j’ai de besoin est d’être convaincu de la chose et là je repensai à ce que j’ai dit. Il est rare que je revienne sur mes paroles, alors…
ꕥ Petit plus ꕥ Un petit sourire est toujours glissé sur mes lèvres, comme si je trouvais toujours ça amusant. Un genre de sourire moqueur, mais ce n’est pas le cas. Un sourire qui est plutôt satisfait. Parfois on pourrait me considérer comme une personne au cœur de glace, mais ce n’est qu’une parure, une carapace, pourquoi ? À ne pas souffrir tout simplement.
Histoire
Je déteste ce sentiment qui se place au niveau de ma gorge. J’ai l’impression d'étouffer à chaque inspiration. Ça devient insupportable, indéniable et un véritable supplice. Pourquoi est-ce que je pense ainsi ? La réponse est tout simplement évidente et devant mes yeux. Regard posé sur la pierre tombale, qui à côté une petite fortune rien que pour l’emplacement ainsi que la gravure ici repose Priscilla Sheffield avec sa date de naissance ainsi que la date de sa mort. Les androïdes lui ont enlevé la vie et je n’ai rien pu faire pour l’aider. Je me suis sentie complètement impuissante. Ma mère ne méritait pas un tel, même si elle n’était pas parfaite par moment. Au moins, elle était présente. Elle est la raison pour laquelle j’ai joint la Coalition, faire payer les androïdes de leur abus de liberté. C’est elle qui anime cette flamme qui gît à l’intérieur de moi, elle qui me donne cette force de continuer d’avancer et d’espérer un monde meilleur : reprendre notre vie, reprendre notre ville et éliminer un maximum la menace qui nous guette. Heureusement que Leo alias Aleksander Knight a eu la brillante idée de créer le groupuscule. Il en est le chef et je ne suis qu’une simple membre et pourtant… Quelque chose s’est créé entre nous. Une étincelle. Un simple échange d’un regard. Il était loin d’être comme les autres. On a commencé à se voir en dehors du QG. À se voir en cachette, à se fréquenter et à succomber à nos désirs plus que charnelle. Sans le savoir, j’ai développé des sentiments envers lui. Je ne devrais pas, c’est mal, car avant même que nos lèvres se touchent, on s’est promis de ne jamais aller au-delà de cette relation, que rien ne sera officiel entre nous. Rien que physique, rien d'émotionnel. J’ai accepté ces termes, mais j’ai menti. Durant les jours qui ont suivi, je suis complètement tombée amoureuse de lui. Il l’ignore. Je sais qu’il est possessif à mon égard, car on ne doit voir personne en dehors de nous. J’appartiens uniquement qu’à lui. L’impression qu’il connaît tout de moi alors que je connais peu de lui, sauf le fait qu’il porte un masque, qu’au fond c’est un homme qui a souffert d’un tragique accident. Il est peut-être rude, calculateur et déterminé à obtenir ce qu’il veut dans la vie, c’est presque avec joie que je le défie du regard n’ayant pas peur de ses représailles, je crois que secrètement il kif ça. Aurais-je un jour le courage de lui dévoiler mes sentiments ? Quand le moment sera opportun.
Assez parler de lui et de la Coalition… Je voudrais parler de moi et de tout mon parcours. Je suis née le 14 février en 2009 dans la magnifique ville qui est à Détroit. Une vie parfaite n’existe pas, ce n’est qu’éphémère telle une fantaisie voire même une peinture que l’on relook ayant espoir de s’y plonger. Mes parents étaient mariés, je n’ai pas eu de chance… Mon père était purement agressif envers ma mère et moi. C’était un piccolo fini, un raté de la vie. Vers mes dix ans, mon père revenait de son boulot… Ancien boulot, il a été mis dehors, car il a été pris en flagrant délit en train de boire durant son heure de travail. Au lieu de s'acharner sur lui-même pour ses propres actes, il a blessé ma mère en la battant avant de faire pareil avec moi, muni de sa bouteille complètement vidé. J’ai fini à l’hôpital, terriblement blessé, j’ignorais comment j’ai pu survivre, mais j’y ai survécu. Au moment où je revenais chez ma mère, elle avait jeté mon père dans la rue, tel un déchet. C’était tout ce qu’il méritait. En même temps, elle a divorcé, réclamant la garde. Ma mère m'a élevée comme elle pouvait, elle m'a aimée comme elle pouvait, elle m'a logée, elle m'a nourrie comme elle pouvait avec ses moyens financiers. Elle n'avait pas un travail des plus extraordinaires, mais assez pour que l'on puisse vivre à deux. J’ai été suivi de près comme de loin par un psychologue s’assurant que tout allait bien auprès d’elle. Je sais qu’elle faisait tout pour me protéger.
Malgré ce tragique accident, assez bien regrettable. J’étais plutôt une bonne élève à l’école, bien appréciée des professeurs. J’avais des amis, sans vraiment appartenir à un quelconque groupe. Je n’étais pas non plus la meuf populaire. J’avais par contre une meilleure amie, elle se nommait Serena. On a grandi ensemble, elle était mon tout, mon rayon de soleil, elle illuminait carrément la pièce. Intérieurement, j’ignorais que j’avais des sentiments pour cette fille. C’est en allant au secondaire que ces sentiments sont confirmés. Je ne voulais pas la perdre, donc je les cachais. Presque honteuse de ressentir ceci vis à vis d’elle. Une merveilleuse relation avec elle depuis que nous étions toute petite. On dormait souvent l’une comme chez l’autre, par intermittence, mais une fois toutes les trois semaines, quand même ! On regardait des films, on grignotait et on veillait tard. Le plus drôle était qu'au moment de s’endormir, on arrêtait pas de discuter, mais en chuchotant ayant peur que les parents entendent nos secrets, nos secrets qui seraient bien gardés. Un vendredi soir, lorsqu’elle venait dormir chez moi, dans le même lit, elle me scrutait.
“Les filles disent des choses étranges à ton sujet.” “Quoi donc ?” “Elles disent que tu serais… en amour avec moi.”
Je me figeais, je ne m’y attendais pas. J’avais détourné le regard et je sentit une chaleur au niveau de ma joue. Mon regard se braqua sur les siens.
“Et si c’était le cas, est-ce mal ?” “Non, j’aurais aimé le savoir plus tôt.”
avait-elle soufflé avant qu’elle m’embrasse, tendrement. Mon cœur avait battu à cent mille à l’heure à ce moment-là. On a pas été plus loin, on s’était juste embrassés. C’est là qu'elle m'avait avoué quelque chose à son tour, un regard triste.
“Je déménage le mois prochain.” “Tu me le dis maintenant ?! Depuis quand es- tu au courant ?” “Deux semaines déjà…” “Où vas-tu ?” “Au Canada, pour le boulot de mon père. Il a été promu, donc c’est la chance de sa vie. Je dois malheureusement suivre, mais ça ne nous empêchera pas de nous contacter via les réseaux sociaux.” “Alors je compte bien profiter du dernier mois que j’ai à tes côtés.”
C’est ce qu’on a fait. On en a profité ensemble, à chaque jour jusqu’au jour J. J’étais là à son départ, je la saluais avec mon regard rempli de larmes. On a tenu promesse, on se parlait presque à chaque jour sur le net, c’était notre rituel jusqu’à ce qu’elle cesse. Un trou se créait au creux de ma poitrine. Ce vide me détruisait peu à peu. Ma mère ignorait quoi faire, mais ça me rendait complètement folle, presque dépressive par son absence au point d’avoir de la difficulté à dormir la nuit. Heureusement que j’avais quelques clichés de nous deux, que je scrutais de temps à autre. Je pensais m'enfoncer dans mon lit, c’était presque pénible de me lever chaque jour juste pour me rendre à l’école et de finir mon lycée. Je me plongeais complètement dans l’art, mon psychologue me disait que dessiner me permettait de sortir de ma zone de confort et m’aider à penser à autre chose. Il avait complètement raison. C’est devenu une passion au point que je voulais devenir artiste.
J’ai décidé d’étudier en art à l’université. J'ai passé haut la main tous les examens de fin d’année pour entrer à l’Université dans la branche art & littérature. J’étais passionnée par ce que j’apprenais malgré que j’avais légèrement fait mes recherches auparavant. Ça me servait comme défouloir de toutes mes émotions cumulées.
À l’université je n’ai pas rencontré le grand amour, car dans mon livre à moi, il n’existe pas. Non, je suis plutôt le genre de personne qui va à la fête pour boire et m’amuser, parfois finir dans le lit de quelqu’un. Homme ou femme, peu importe, je ne suis pas discriminatoire. Au point d'oublier mon histoire avec Serena. Elle aurait toujours une place importante dans mon cœur.
Puis les années passèrent et je décrochais mon diplôme en art. J’étais une fan finie de Carl Manfred, un célèbre artiste. Mon rêve était de le rencontrer. J’avais tout le soutien de ma mère durant tout mon parcours scolaire et à la première vente de l’une de mes peintures. J’ouvrais mon propre atelier chez moi, j’offrais même mes services en ligne sur mon propre site internet. Je vendais des tableaux déjà faits ou je pouvais en faire sur mesure selon les désirs des clients. J’étais passionnée par mon travail et je m'applique vraiment à la tâche.
Et puis y’a mon opinion envers les androïdes, personnellement je n’ai rien contre eux. Si je les croisais dans la rue, je les saluais, mais si jamais j’en voyais se faire tabasser, je faisais comme si rien n’était. Je n’avais pas vraiment les compétences pour y faire quoique ce soit de toute manière. C'était avant que le cauchemar ne commence. Le 11 septembre 2038 frappait à nos portes. L'assaut de Markus. La ville était en état de guerre, c’était la panique à tous les coins de rues. De mon côté, je suis restée chez moi, mais j'ai pensé très fort que les androïdes poussaient un peu trop loin leur besoin d’être libre et de vivre comme nous. Ce n’était pas ça… Ils auraient pu choisir la paix, mais ils ont fait les choses différemment. La violence. On entendait aussi un groupe se faisant appeler la Coalition, un groupuscule qui agit pour le bien de l’humanité et contre les actes des androïdes. Au fond de moi, je savais que je devais y faire quelque chose. J’appris à me défendre et faire du sport. J’ai appris à me battre en si peu de temps, mais j’apprenais vite. C’est ce que mon coach me disait. Le désir de vivre. Il était hors de question que je meurs des mains des androïdes.
C’est là qu’en une soirée tout se tournait en cauchemar. En rendant visite à ma mère, je constatais que la porte de chez elle était grandement ouverte. Je me suis rapidement précipitée à l’intérieur, je la découvrais allongée au sol, baignant dans son propre sang et inerte. Je n’ai jamais su ce qu’il s’est réellement passé, mais ça m’a totalement dévastée et jamais je ne réussissais à effacer cette image de mon esprit. Cette haine envers les androïdes nait de plus en plus et je prenais la décision de vouloir y mettre fin, d’où ma présence à la Coalition où que je me fais surnommé Fox. J’ai tout organisé pour ses funérailles, au fond je savais que je n’étais pas toute seule dans cette épreuve, j’avais le support de Aleksander. Il comprenait ma peine ainsi que ma partenaire de crime Tiger. Ensemble on fait un duo choc.